Certaines maladies du chien sont courantes et bénignes, même si un maitre sera forcément inquiet, jusqu’au rétablissement complet de l’animal. Quand un vétérinaire diagnostique la maladie de Carré, la donne change, de façon considérable.
La maladie de Carré, c’est dangereux pour un chien ?
Un simple éternuement d’un chien atteint et la propagation du virus commence. C’est notamment pour cette raison que la maladie de Carré fait des ravages dans les élevages.
Si la maladie touche un chien adulte, il arrive qu’il s’en sorte, avec des séquelles à vie, comme des crises régulières d’épilepsie. C’est rarement le cas chez les chiots qui peuvent en mourir en quelques jours.
Dans les premiers temps, l’animal présentera de la fièvre avec écoulement nasal, puis des difficultés respiratoires. Viennent ensuite la fatigue, le manque d’appétit, les vomissements et les diarrhées. Le chien a du mal à se déplacer car il peut présenter des défaillances neurologiques.
Comment protéger mon chien contre la maladie de Carré ?
Il n’existe aucun traitement probant contre la maladie de Carré, une fois que le chien est atteint. Le vétérinaire fera pourtant tout pour le sauver et tentera plusieurs traitements. Il faudra réhydrater le chien et l’alimenter par sonde, pendant quelques temps ; ce qui suppose un coût très important pour le maitre.
La maladie de Carré peut cependant être évitée très facilement quand un chien est jeune. Dès l’âge de trois mois, la vaccination reste l’acte préventif le plus efficace. Un cocktail de plusieurs vaccins peut d’ailleurs le prémunir conjointement contre d’autres maladies mortelles, dont celle de la rage ou encore de la toux du chenil.
Pour que les frais vétérinaires n’impactent pas le budget familial pendant des années, il est préférable de prendre une assurance pour son chiot, une fois les premiers vaccins effectués.
L’assurance permet d’être remboursé de ses frais vétérinaires en partie ou totalement, selon la formule qui aura été choisie.
Quel contrat choisir pour l’assurance santé de mon chien ?
Peu d’assureurs prennent le risque de prendre en charge un animal déjà porteur de maladie. C’est pour cette raison que, pour ne pas se retrouver devant une garantie d’exclusion, il est utile de prendre cette assurance dès la vaccination du chien, quand le vétérinaire lui fait passer un check-up et certifie sa bonne santé.
Si le chien est amené, par la suite à déclarer une autre maladie, moins grave, il faut l’espérer mais quelquefois très coûteuse, certains de ces frais pourront être remboursés. Le choix du meilleur contrat peut être simplifié par l’utilisation d’un comparateur en ligne.
Il s’agit d’un outil gratuit qui permet, en quelques minutes, d’éliminer certains assureurs (ceux qui ne prennent pas les chiens de race, par exemple). Mais le critère peut être le prix ou encore un délai de carence trop long, en ce qui concerne la maladie.
Enfin, bien entendu, pour que les rappels annuels coûtent le moins cher possible ; si ce n’est rien, il faut trouver une offre qui rembourse bien les actes préventifs.
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